Je propose presque chaque jour un texte écrit comme on prendrait une photo instantanée. Les textes et poésies sont la plupart du temps, bruts et presque pas retouchés. Ils sont les reflets de mes émotions et je les dépose ici en partage. Merci à tous les rêveurs et amoureux des mots qui prendront le temps de flâner sur mes pages. N’hésitez pas à me contacter en cliquant sur «contact» ou en laissant un commentaire. Bonne visite à tous, bien amicalement, Simon...
Serge Gainsbourg - Le poinçonneur des Lilas 1958...
Tout neuf...
Renaud - Morgane de toi...
Chemin...
Le temps des blessures de Angiee...
Sur les heures qui passent et le temps qui dure,
Les regrets prennent place telle la moisissure,
Je ne veux plus qu'atteindre ce point du futur,
Pour enfin éteindre le feu des blessures,
Je ne veux plus qu'atteindre ce point du futur,
Pour enfin éteindre le feu des blessures,
Et parce que la faim ne vient jamais seule,
Usant toute envie comme sur une meule,
Désespoir m'assoiffe de ma grande passion,
Dessèche mon esprit de toute sa raison,
Usant toute envie comme sur une meule,
Désespoir m'assoiffe de ma grande passion,
Dessèche mon esprit de toute sa raison,
Quand le ciel se voile de robes de tonnerres,
Frappant violemment les sols d'éclairs,
Quand les pluies battantes s'écoulent des paupières,
Quelle est cette chaleur qui sèche la terre ?,
Frappant violemment les sols d'éclairs,
Quand les pluies battantes s'écoulent des paupières,
Quelle est cette chaleur qui sèche la terre ?,
Et quand s'affaiblissent mes espoirs d'hier,
La mèche de bougie gît dans la poussière,
Perdu dans le noir des longues nuits d'hiver,
Au loin une lueur, d'où vient cette lumière ?,
La mèche de bougie gît dans la poussière,
Perdu dans le noir des longues nuits d'hiver,
Au loin une lueur, d'où vient cette lumière ?,
Cet horrible cauchemar revient et m'entraîne,
Dans l'obscurité profonde et malsaine,
Tous mes cris se perdent, mes larmes sont vaines,
Je connais cette voix qui toujours me ramène,
Dans l'obscurité profonde et malsaine,
Tous mes cris se perdent, mes larmes sont vaines,
Je connais cette voix qui toujours me ramène,
D'innombrables failles s'ouvrent sous mes pieds,
Des fleuves de laves déversent leur bûcher,
Et quand l'équilibre vient à me manquer,
Je ferme les yeux, plus que ta pensée,
Des fleuves de laves déversent leur bûcher,
Et quand l'équilibre vient à me manquer,
Je ferme les yeux, plus que ta pensée,
N'est-ce pas interdit d'aimer aussi fort,
Personne ne le sait, du moins pas encore,
Rien ne lui est égal, ni argent, ni or.
Personne ne le sait, du moins pas encore,
Rien ne lui est égal, ni argent, ni or.
Angiee.
Piano-bar (1)...
Kendji Girac - Color Gitano...
Antidote de Angiee...
Antidote
Un jour, quelques mots et c'est ma vie qui change
Le souffle sur ma peau d'un trouble bien étrange
T'as surgi dans ma vie comme un nouvel espoir
Au milieu de mes nuits où il faisait si noir.
Tant de choses ont changé, si seulement tu savais
Tu as su me donner la force et la paix
Un remède à mes maux et l'envie de parler
Mettre mon cœur au repos et te le confier.
Tu as su redonner de la vie à ma plume
Tu as su effacer la profonde amertume
Raviver l'envie et le délice d'écrire
Un cœur rajeuni et des éclats de rire.
Tu m'as réappris à aimer le goût de l'écriture
Le goût partagé qui apaise mes blessures
De si tendres couleurs à mes nuits trop blanches
Un brin de bonheur pour nourrir l'espérance.
Tu as su redonner un sens à mes mots
Atténué la couleur du passé qui troublait mon repos
Plus jamais de nuits sans rêves ni de jours sans espoir
Et rien que la fièvre d'exister pour y croire.
Tu as su simplement raviver la vitale couleur
Qui renaît doucement dans mes mots, mes yeux, mon cœur
De la douceur à ces larmes qui me brûlaient la peau
De la paix pour mon âme : l'antidote de mes maux.
Angiee