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WWW.SIMZSER.COM

Colère...

31 Mars 2016, 06:55am

Publié par Simon

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Un point de côté...

30 Mars 2016, 09:17am

Publié par Simon

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Anomalie...

30 Mars 2016, 09:07am

Publié par Simon

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Gravlax de sumon, ma recette préférée...

30 Mars 2016, 08:16am

Publié par Simon

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Nalco, Guest house...

29 Mars 2016, 07:04am

Publié par Simon

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Instant...

8 Mars 2016, 20:35pm

Publié par Simon

Instant...

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Jusqu'au dernier vers...

5 Mars 2016, 09:57am

Publié par Simon

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La merditude des choses...

4 Mars 2016, 11:23am

Publié par Simon

La merditude, c'est quand on a une vie de merde... et qu'on trouve ça normal. Question d'habitude. Ou même d'hérédité. C'est le cas de Gunther, 13 ans, qui vit dans les années 80 à Trouduc-les-Oies chez sa grand-mère, avec son père et ses trois oncles, quatre ogres braillards, chômeurs et biturés à la bière du réveil au coucher. Faire ses lignes de punition (quelque chose dans le genre « Tu ne frapperas pas tes camarades sous prétexte qu'ils se sont moqués de ta famille») à côté d'un papa torché ou voir ses tontons foutre à la porte l'huissier, ça le fait marrer, Gunther. Sa mère, qui a fui depuis longtemps ? « Une pute, madame », répond-il tranquillement à l'assistante sociale. Il est un Strobbe, il en est fier, et, comme le dit l'oncle Petrol, carabine à la main : « On ne touche pas à un Strobbe. » Sauf quand l'ado se fait tabasser par papa, que l'alcool et la déprime finissent par rendre dingue...

Bienvenue en enfer ? Oui et non, car ce petit film flamand, en passe de devenir un phénomène (triomphe monstre en Belgique, début de carrière en Amérique), est réjouissant au possible. Une alchimie parfaite entre lose totale, avec décors grisâtres assortis, et énergie dévorante, comme en témoigne la course de vélo à poil de l'affiche. Les Strobbe sont machos, glandeurs, pathétiques, violents à l'occasion, mais Felix Van Groeningen les filme avec l'empathie, la tendresse que Cassavetes avait pour ses paumés. Ils en deviennent terriblement attachants, ces gros boeufs chevelus fans de Roy Orbison (!). Bourrés, ils peuvent même être hilarants. Construit en allers et retours entre l'enfance de Gunther et sa vie d'adulte cynique (tu m'étonnes !), ce portrait de famille en chaos constant ose tous les excès, toutes les grossièretés sans jamais sombrer dans la vulgarité. Dans sa manière d'éructer, si émouvante, ce film pourrait être une chanson de Jacques Brel. Revigorant dans sa désespérance même.

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Matt Simons - Catch & Release...

4 Mars 2016, 07:53am

Publié par Simon

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Au-delà de l'amour..., de Angiee...

1 Mars 2016, 10:39am

Publié par Simon

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